Chien et Chiot Épagneul Breton : Prix, Caractère, Éducation et Santé

La race de chien du jour : l’épagneul breton !

Au sommaire

D’où vient l’épagneul breton ?

Excellent chasseur et fidèle compagnon de vie, l’épagneul breton se veut gentil et attentionné, en toutes circonstances. Alors, quelle est l’histoire de ce chien aux multiples qualités ?

La race d’épagneul la plus ancienne

Si la race de l’épagneul breton a officiellement été créée en 1907, son origine serait pourtant bien antérieure.

D’ailleurs, il semblerait que ce spécimen soit en fait l’une des races de type épagneul les plus anciennes.

En plus d’être la première race de chiens d’arrêt, ce chasseur hors-pair est également le plus petit de la catégorie.

Un chien à l’origine assez floue

Les avis sont assez mitigés sur le sujet : s’il est bien plus probable que l’épagneul breton tire son origine du centre de la Bretagne française, ce qui fait alors de lui le descendant direct des chiens d’Oysel selon les dires du seigneur féodal Gaston Fébus, d’autres hypothèses ont également été évoquées au fil du temps.

En effet, l’épagneul breton pourrait également être le fruit de plusieurs croisements sanguins de setters anglais, durant le XIXe siècle.

De plus, une troisième hypothèse trouve la descendance de l’épagneul breton du côté de l’Agasse, une race canine importée par le peuple celte en France.

Sa fiche d’identité

Une véritable perle pour les chasseurs

Classé dans la section – regroupant les chiens d’arrêt continentaux, de type Epagneul – du groupe 7 – réunissant les chiens d’arrêt – l’épagneul breton se démarque par sa petite taille mais surtout par son efficacité en action.

Aujourd’hui classée comme étant la première race de chiens d’arrêt français, l’espèce de l’épagneul breton a effectivement la chasse dans le sang et se veut très motivée pour toute activité qui s’y apparente.

Un compagnon de vie idéal

« Un maximum de qualités pour un volume minimum », la devise du Club de l’épagneul breton en dit long sur la personnalité du spécimen.

Ce petit chien au grand cœur est aussi doux qu’il est agréable. Les enfants apprécieront de jouer avec cet animal plein de vitalité et d’amour pour ses maîtres.

L’épagneul breton possède une double casquette pour le moins très attrayante : s’il peut se montrer très vif et efficace lors d’une grande partie de chasse, il peut aussi très bien se laisser bercer par le rythme d’une journée reposante dans le confort d’un canapé.

La santé et l’alimentation

Une alimentation équilibrée

Il convient de distribuer les rations alimentaires à des heures les plus fixes possibles ainsi qu’au même endroit pour chaque repas.

Attention, toutefois, car l’épagneul breton a un bon coup de mâchoires : souvent en demande, ce spécimen mangerait autant de fois qu’il le pourrait s’il en avait l’occasion.

Ainsi, pour éviter tout risque d’obésité, rationnez bien les repas et ne cédez pas à ses suppliantes demandes. C’est d’ailleurs de croquettes adaptées aux chiens médiums (11 à 25 kg) que va se composer son délicieux repas.

La santé de l’épagneul breton

Solide et plutôt rustique, la santé de l’épagneul breton n’est généralement pas préoccupante. Toutefois, il est important de régulièrement et attentivement surveiller ses oreilles car il est sujet aux otites.

Le brossage, à hauteur d’une à deux fois par semaine, est important pour entretenir le poil de votre animal. Pour ce qui est de son hygiène, il est conseillé de lui faire un toilettage d’une dizaine de minutes, deux à trois fois chaque année.

L’épagneul breton vit en général entre 12 et 13 ans.

Le mode de vie

Son éducation

D’une grande douceur, l’épagneul breton présente un assez bon caractère. Il est sensible, franc, équilibré et représente le compagnon idéal, aussi bien pour des activités extérieures que pour le quotidien.

Vif, plein d’énergie et passionné, c’est un très bon élément à la chasse. Sociable avec l’homme, comme avec ses congénères, l’éducation de l’épagneul breton ne présente pas de difficultés si elle est faite en douceur et dès son plus jeune âge.

Son quotidien

Très intelligent, l’épagneul breton s’adapte facilement à l’environnement qui l’entoure. Ainsi, il est tout à fait capable de vivre en campagne, comme en ville.

Toutefois, dans les deux cas, l’exercice physique reste primordial : il est essentiel que l’épagneul breton puisse s’adonner à une activité de manière régulière.

Des courtes promenades au quotidien, aux longues sorties dans de vastes plaines ou forêt, votre chien sera heureux tant qu’il pourra se défouler.

L’épagneul breton aime à se lover dans de confortables fauteuils ou canapés. S’il n’y est pas habituée dès son plus jeune âge, le chien ne supporte pas toujours très bien le fait d’être seul trop longtemps.

Très bon compagnon, l’épagneul breton apprécie de jouer en compagnie d’enfant ou bien de tenir simplement compagnie à ses maîtres.

Le standard

Le standard représente la base de notation pour les jurys des concours. Le standard d’une race comprend les diverses caractéristiques morphologiques, physiques et comportementales de l’animal faisant office de « modèle ».

Le chien qui répond à l’ensemble des caractéristiques du standard représente le « type » de base qui va alors définir le restant des chiens de la race.

  • L’aspect général : l’épagneul breton représente le plus petit des chiens d’arrêt. Animal de type braccoïde, la queue est soit très courte, soit absente. L’épagneul breton se veut harmonieux et possède une solide ossature, qui reste « équilibrée » sans être grossière. Le râble est épais et assez court, ce qui renvoie à un ensemble plutôt compact et élégant. Vigoureux, l’épagneul breton possède un regard vif et une expression intelligente. Trapu et de petite taille, ce chien est qualifiée de « COB bréviligne » rempli d’énergie.
  • Les proportions importantes : le crâne se doit d’être plus long que le chanfrein, calculé selon le rapport de longueur 3 : 2. La tête dans son ensemble est en harmonie avec le reste du corps, bien proportionnée. La hauteur de la poitrine doit être sensiblement inférieur à la moitié de la hauteur retrouvée au niveau du garrot. La longueur scapulo-ischiale – c’est-à-dire entre l’épaule et l’ischion – se veut équivalente à la hauteur au garrot.

Le comportement et caractère

Très vif, l’épagneul breton est l’un de ces chiens très faciles à vivre, avec une capacité d’adaptation étonnante. En effet, il s’adapte facilement à l’ensemble des milieux dans lesquels il se retrouve.

Sociable, doté d’une expression aussi intelligente qu’attentive, l’épagneul breton est mentalement équilibré.

Motivé par l’activité qu’est la chasse, c’est un chien d’arrêt polyvalent, capable de pister toute sorte de gibier et sur tous les types de terrain.

L’épagneul breton se démarque nettement de par ses capacités de recherche, ses allures, son sens olfactif développé, sa remarquable tenue de l’arrêt, sa spontanéité, son étendue d’exploration ou encore sa facilité pour l’apprentissage et le dressage.

La tête de l’épagneul breton

On observe une tête à la peau adhérant correctement et aux reliefs bien ciselés.

La région crânienne

  • Le crâne : lorsqu’il est observé de face, comme de profil, le crâne apparaît légèrement arrondi. Vu du dessus, les faces latérales se veulent assez légèrement convexes. Les lignes cranio-faciales, elles, sont parallèles. La largeur du crâne, mesurée entre les arcades zygomatiques se veut inférieure à sa longueur. Les arcades sourcilières ne doivent pas être proéminentes mais doivent plutôt former une courbe sensiblement arrondie. Le sillon médian et la crête sagittale apparaissent assez peu marqués. L’occiput, à l’instar des arcades zygomatiques, se veut moyennement marqué.
  • Le stop : est en pente douce.

La région faciale

  • La truffe : large et dotée de vastes narines humides et correctement ouvertes, la couleur de la truffe est en accord et équilibre avec celle de la robe, à l’instar des bords des paupières ainsi que des orifices naturels.
  • Le chanfrein : alors qu’il se veut rectiligne, les faces latérales du museau, elles, sont quasiment parallèles.
  • Les lèvres : pas très larges et relativement fines, les lèvres de l’épagneul breton sont bien appliquées et sans laxité. La lèvre inférieure se voit masquée par la lèvre supérieure, dont le contour est sensiblement incurvé jusqu’à la commissure très peu apparente et plutôt bien close. Pas de dépigmentation apparente sur l’ensemble.
  • Les mâchoires/dents : la denture, complète et saine, se veut également bien implantée avec un articulé en ciseaux.
  • Les joues : la peau y adhère correctement et les joues sont très peu chargées.
  • Les yeux : sensiblement obliques, ils témoignent d’une expression intelligente, douce et franche également. Les yeux sont légèrement ovales et ne sont pas globuleux. Les paupières sont fines, bien appliquées et correctement pigmentées. L’iris de couleur est en harmonie avec la teinte de la robe, de préférence foncée. La fameuse « expression bretonne » que l’on prenne à l’épagneul breton se définit notamment par l’expression des yeux associée au mouvement de la base des oreilles vers le haut.
  • Les oreilles : attachées plutôt haut, de formes triangulaires, assez courtes et plutôt larges, les oreilles de l’épagneul breton se veulent tirées vers l’avant de sorte que l’extrémité du pavillon de l’oreille se retrouve à atteindre le stop. Elles sont couvertes de poils ondules à certains endroits, surtout au niveau de la partie supérieure, et leurs extrémités sont recouvertes de poils ras. Lorsque le chien est en action, ou qu’il est attentif, les oreilles sont mobiles.

Le cou

De longueur moyenne et de forme tronconique, le cou apparaît bien musclé et légèrement galbé, bien que jamais roué. Sans fanon, le cou de l’épagneul breton se veut bien dégagé des épaules.

Le corps

  • La ligne du dessus : elle est rectiligne, jusqu’au rein ainsi qu’au début de la croupe.
  • Le garrot : peu ressorti, sans pour autant être empâté, le garrot est mobile.
  • Le dos : il est court, rigide et rectiligne. Le dos de l’épagneul breton est lié au rein.
  • Le rein : il se veut musclé, large et court.
  • La croupe : musclée et plutôt large, la croupe apparaît inclinée de manière très légère.
  • La poitrine : large et descendue jusqu’à la pointe du coude, la poitrine à la côte suffisamment cerclée, sans pour autant être cylindrique. Le sternum apparaît large et peu relevé vers l’arrière. Les dernières côtes sont longues et souples.
  • La ligne du dessous et ventre : le flanc est assez peu remonté et également de peu d’étendue. Le ventre est sensiblement relevé.

La queue de l’épagneul breton standard

Attachée à un niveau assez haut, la queue est portée à l’horizontale, ou bien un peu tombante. Lorsque l’épagneul breton est attentif ou en mouvement, la queue est frétillante.

L’animal peut être anoure, c’est-à-dire sans queue, ou brachyoure, lorsque la queue est très courte. Dans le cas où la queue serait coupée, la longueur idéale se situe entre 3 et 6 cm. La longueur ne doit surtout pas excéder les 10 cm.

Les membres

Les membres de l’épagneul breton sont, dans leur ensemble, robustes et musclés.

Les membres antérieurs

Les membres sont d’aplomb et les articulations se veulent souples et robustes.

  • L’épaule : longue, à hauteur de 30 % de la hauteur au garrot), l’épaule est mobile et bien appliquée avec les muscles assez épais de l’animal. L’obliquité est digne d’un galopeur et se trouve entre 55 et 60 degrés sur l’horizontale. Les sommets des deux omoplates tournent autour des 5 cm.
  • Le bras : épais et doté de muscles apparents, le bras est large. Sa longueur se veut sensiblement supérieure à celle de l’épaule. L’angle scapulo-huméral se situe entre 115 et 120 degrés.
  • L’avant-bras : il apparaît nerveux et plutôt musclé. Sa longueur doit être sensiblement supérieure à celle du bras. Sa direction se veut proche de la verticale.
  • Le métacarpe : robuste et souple, le métacarpe est un petit peu oblique, à hauteur de 10 à 15 degrés sur la verticale.
  • Le pied antérieur : les doigts sont serrés, les coussinets sont fermes et les ongles sont courts. Le pied quant à lui est plutôt rond.

Les membres postérieurs

Les membres postérieurs sont d’aplomb et se veulent bien parallèles lorsqu’ils sont observés de derrière.

  • La cuisse : dotée de muscles épais et apparents, la cuisse est large et son obliquité se trouve entre 70 et 75 degrés.
  • La jambe : la longueur doit être légèrement supérieure à celle de la cuisse. La jambe est également dotée de muscles saillants et plutôt secs. Elle se veut large dans sa partie supérieure et devient plus mince à mesure qu’elle progresse vers l’articulation du tarse. L’angle fémoro-tibial se veut proche des 130 degrés.
  • Le jarret : il est sec et ses tendons sont apparents.
  • Le métatarse : il est robuste et lorsqu’il est observé de profil, la direction du métatarse s’approche de la verticale.
  • Le pied postérieur : il se veut d’une longueur plus grande que l’antérieur, bien qu’il possède les mêmes caractéristiques.

L’allure de l’épagneul breton

Quelle que soit son allure, elles témoignent toute d’une certaine puissance. Elles sont toutes régulières, faciles et vives. Chaque membre s’active bien en ligne, sans qu’aucune oscillation verticale exagérée du corps ni roulis ne s’observent.

La ligne du dos reste ferme dans tous les cas. Le galop est l’allure privilégiée et principale lorsqu’il est sur le terrain, les foules se veulent rapides et d’amplitude moyenne. Les postérieurs, eux, ne doivent pas être rejetés vers l’arrière.

Sa peau et sa robe

L’épagneul breton possède une peau assez fine, correctement pigmentée et qui adhère bien au corps.

La qualité du poil

Le poil ne doit pas être soyeux, il doit être fin, plat ou alors ondulé sur le corps mais de manière très légère. Il ne doit en aucun cas être frisé. Le poil est ras au niveau de la tête et de la face antérieure des membres.

Les membres doivent être postérieurement munis d’un poil qui se veut abondant avec des franges qui diminuent de longueur au fil de leur progression jusqu’au carpe, au tarse ainsi qu’en dessous.

La couleur du poil

La robe de l’épagneul breton peut être de blanc et d’orange, de blanc et de noir ou de blanc et de marron, associée à une panachure moyennement envahissante et à plages irrégulières.

Le pelage apparaît pie ou bien rouanné, et même certaines fois mouchetée au niveau du chanfrein, des lèvres et des membres.

Des roches de feu (fauve de l’orangé au foncé) peuvent apparaître sur le chanfrein, les lèvres, au-dessus des yeux, au niveau des membres, du poitrail, ainsi qu’au-dessus de l’attache de la queue chez les spécimens tricolores. La robe unicolore n’est pas autorisée.

La taille et le poids

Pour un mâle, la taille minimale se trouve à 48 cm, avec une tolérance de moins de 1 cm. La taille maximale est de 51 cm, avec une tolérance de plus de 1 cm.

Pour une femelle, la taille minimale se trouve à 47 cm, avec une tolérance de moins de 1 cm. La taille maximale est de 50 cm, avec une tolérance de plus de 1 cm.

La taille idéale pour un mâle se situe entre 49 et 50 cm et entre 48 et 49 cm pour une femelle.

Les défauts

Les défauts ne sont autres que les caractéristiques anormales observées chez le spécimen présenté. Tout écart, comparé au standard, sera identifié comme étant un défaut.

Toutefois, les pénalités distribuées lors des concours dépendent directement du défaut identifié ainsi que des conséquences qui y sont associées et qui peuvent mettre en péril la santé et le bien-être du chien.

Sur la liste des défauts pour l’épagneul breton, les pénalités peuvent être octroyées dans le cas où :

  • Le chien est trop timide, qu’il a le regard fuyant
  • Les lignes de tête sont assez légèrement divergentes
  • La truffe est sensiblement ladrée et l’intérieur des narines dépigmenté
  • La denture présente un articulé en pince et les dents se voient mal implantées
  • Le chanfrein est pincé ou bien en sifflet
  • Les lèvres sont épaisses, pas assez ou bien trop descendues/la laxité est excessive
  • Les yeux sont globuleux, présentent une forme en amende ou s’ils sont trop ronds
  • Les oreilles sont attachées trop bas/elles sont étroites à l’attache
  • Le dessus du dos est ensellé ou voussé
  • La croupe apparaît trop étroite ou très avalée
  • L’abdomen se veut volumineux ou levretté
  • Les pieds sont écrasés, d’une longueur excessive ou trop ronds
  • Le cou est trop court et apparaît empâté/il présente un léger fanon
  • Le rein est long, faible mais également étroit
  • Les flancs sont trop creux et manquent de largeur. Ils sont régulièrement associés à un rein faible
  • Le chien présente un manque d’ossature au niveau des membres/les coudes sont décollés/l’épagneul breton est panard ou bien cagneux
  • Le poil est court sur tout le corps

Les défauts graves

  • Si le tempérament est indolent
  • Si le crâne présente des arcades sourcilières et zygomatiques beaucoup trop proéminentes/si le stop est trop marqué
  • Si les yeux sont clairs, le regard est méchant ou assimilé à celui d’un oiseau de proie
  • Si le cou est trop long et les fanons trop marqués
  • Si une gêne est identifiée dans les allures

Les défauts qui entraînent l’exclusion

  • Si le spécimen est agressif, mordeur ou peureux
  • Si une ou plusieurs anomalies d’ordre physique ou comportemental sont repérées
  • Si une insuffisance des caractères ethniques est observée, de sorte que le chien ne ressemble plus à ses congénères
  • Si la taille ne fait partie des limites imposées par le standard
  • Si la ligne de tête présente une convergence caractérisée
  • Si une tâche blanche est repérée sur les oreilles
  • Si les yeux sont très clairs ou hétérochromes. Si la présence d’un strabisme, entropion ou ectropion est détectée
  • Si un prognathisme apparaît au niveau des mâchoires
  • Au niveau de la denture, seule l’absence de 2 P.M.-2, ou bien de 1 P.M.-2 et 1 P.M.-3 n’est tolérée. Les absences contiguës des deux dernières dents évoquées (P.M.2 et P.M.3) amènent à l’élimination. Alors que les P.M.-1 et les M-3 ne présentent pas de grande importance, toute absence d’autres dents non-évoquées ici entraîne l’élimination
  • Si des tâches de ladre apparaissent trop marquées au niveau de la truffe ou sur les paupières
  • Si le chien présente un ergot, même s’il est rudimentaire
  • Si une anomalie morphologique grave est constatée

De plus, les testicules de l’épagneul breton mâle doivent présenter un « aspect normal » : ils faut qu’ils soient complètement et correctement descendus dans le scrotum. La reproduction n’est autorisée qu’entre des chiens sains et dont la morphologie s’apparente au standard de la race. Le chien doit également être en mesure d’accomplir les missions pour lesquelles il a été sollicité.

Le prix et coût d’un épagneul breton

Le coût pour un épagneul breton varie selon son sexe : le prix moyen pour une femelle se situe entre 400 et 1400 euros alors que pour un mâle, il faut compter entre 400 et 1 000 euros.

Pour le budget croquettes, comptez environ 50 euros par mois pour ce chien de taille moyenne.

Mise à jour de l’article : novembre 11, 2021